La délégation CGT qui a rencontré le Premier ministre le 24 mai lui a remis une liste recensant les emplois menacés. Interrogé sur RTL ce mercredi 30 mai, le ministre du Travail a estimé que le chiffre de 45 000 emplois avancé par la CGT était réaliste. Dans ces conditions, il n’est pas étonnant que 58% des Français placent l’emploi comme priorité assignée aux rencontres que le Premier ministre a entamé avec les syndicats et le patronat.
Ainsi, après avoir connu sur Arles la fermeture de Lustucru puis de Papeteries, la liste compte encore des entreprises relativement proches dont la fermeture aggraverait encore l’économie régionale. C’est notamment le cas de FRALIB à Gémenos, LYONDELLBASEL à Berre ou BELVEDERE à Beaucaire. Sans compter avec les entreprises concernées qui ont des salariés dans toute la France.
Ensemble ne lâchons rien.