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AG Union Locale CGT 27 février

ASSEMBLEE GENERALE DES SYNDICATS, SYNDIQUES ET MILITANTS DE L’UNION LOCALE CGT D’ARLES

Mardi 27 février 2023 à 17H à la Bourse du Travail - 3 rue Parmentier - ARLES

Assemblée Générale de rentrée de l’Union Locale CGT d’Arles ; le 12 septembre

Assemblée Générale de rentrée de l’Union Locale CGT d’Arles le :

12 septembre 2023, à 17h00, dans nos locaux de la Bourse du Travail.

Commission Exécutive 5 juin

La CE de l’Union Locale CGT d’Arles se réunira le Jeudi 5 juin à 13h30

Jeudi 8 novembre 2018 Assemblée Générale de l’Union Locale CGT d’Arles

De 8h30 à 12h

Le quotidien pour les salariés, retraités, privés d’emploi, jeunes, c’est l’austérité budgétaire et salariale, la casse de nos emplois et de nos statuts, la destruction de nos industries et services publics, l’attaque contre nos droits et garanties collectives, le démantèlement de notre sécurité sociale…en bref une remise en cause de notre modèle social.

Nous devons faire face à une offensive généralisée contre l’ensemble de nos droits et garanties collectives. L’objectif de ces attaques est clair : « Enrichir toujours plus les actionnaires, les riches, le patronat » !

L’assemblée générale permettra :

 de mieux mesurer, tous ensemble, les enjeux qui sont devant nous.

 d’identifier collectivement les possibilités qui peuvent nous permettre de mettre en échec ces politiques.

Les militants et syndiqués sont invités à participer à cette assemblée qui se tiendra en présence d’Olivier Mateu, Secrétaire Général de l’Union Départementale CGT des BdR.

Lundi 20 mars, AG de l’Union Locale CGT d’Arles

Assemblée Générale des adhérents de la CGT à 17h30

Une AG pour partager toutes les informations, les analyses du moment avec un gouvernement et le président qui ont fait le choix du 49-3 ! C’est un échec et un désaveu pour eux.

Et c’est bien la lutte déterminée des travailleuses et travailleurs, de la jeunesse, dans le cadre d’une intersyndicale complète, qui conduit à cette impossibilité pour Elisabeth Borne d’obtenir une majorité pour sa contre-réforme des retraites.

C’est un déni de démocratie qui s’ajoute à ceux qui ont émaillé l’ensemble du processus de construction et de validation de cette réforme. Sans motion de censure, le projet de loi serait donc validé sans aucun vote de l’Assemblée.

Une AG, donc, pour préparer, entre autres, la prochaine manifestation du jeudi 23 mars avec le RdV à Arles à 10H30 au Kiosque à Musique.

Lundi 7 septembre : Assemblée Générale de l’Union Locale CGT d’Arles

Lundi 7 septembre 2020 à 17h : Assemblée Générale des syndiqués CGT d’Arles et sa région.


Pendant l’été, le gouvernement a décidé de poursuivre la mise en oeuvre de ses réformes de l’assurance chômage et des retraites, et n’a répondu que très partiellement aux attentes des soignants et agents de l’hôpital et des Ehpad.

Le 1er Ministre a la mission de mettre en oeuvre sa réforme libérale des retraites, prévoyant notamment un allongement de la durée de cotisation en dépit du chômage des séniors, de l’aspiration à bénéficier d’années de fin de vie en bonne santé, et de la situation de la jeunesse confrontée au chômage et à la précarité. En cause, le déficit de la Sécurité sociale et des caisses de retraite. Comme si elles ne souffraient pas en réalité d’un déficit de ressources, lié à la fois au chômage massif et aux exonérations patronales. « 60 milliards d’euros versés aux actionnaires en 2019 par les entreprises du CAC 40, 90 milliards d’euros d’exonérations de cotisations sociales patronales et cadeaux fiscaux en tout genre par an aux entreprises. », rappelle la CGT.

Seconde annonce : le maintien de la réforme de l’assurance chômage dont le 1er volet est déjà en vigueur et le 2ème était prévu pour septembre. Le gouvernement Castex n’envisage que le décalage de l’entrée en vigueur. Pourtant, le texte de la réforme prévoit de rendre plus drastiques encore les conditions d’accès aux allocations pour les privés d’emploi, qui entre autres mesures devraient, pour y avoir droit, avoir travaillé six mois sur les vingt-quatre précédents au lieu de quatre sur vingt-huit aujourd’hui.

Pour l’ensemble des organisations syndicales, la première urgence, c’est l’emploi, et singulièrement l’emploi des jeunes. Mi-juin, l’Unedic prévoyait la suppression de quelque 900 000 emplois d’ici la fin de l’année-dont environ un tiers en Île-de-France — et une hausse de 630 000 chômeurs indemnisés. Et quelque 700 000 jeunes devraient entrer dès septembre sur le marché du travail, souligne la CGT.

Dans ce contexte, Medef et grand patronat souhaiteraient faire payer la facture à la fois à l’État qu’il juge traditionnellement trop dispendieux, mais à qui il réclame de nouvelles exonérations sociales et fiscales, et aux travailleurs, en multipliant les accords dits de performance. Objectif : flexibiliser davantage le travail, accroître le temps de travail, voire réduire les salaires, en dépit des aides publiques que le patronat reçoit d’un côté et des dividendes qu’il verse de l’autre aux actionnaires.

Pour la CGT, c’est précisément l’inverse qui s’impose. Préserver et même accroître l’emploi passe par la réduction du temps de travail, à la fois pour le partager et pour favoriser de meilleures conditions de travail. D’où la revendication d’un passage aux 32 heures. Mais il s’agit aussi, et c’est avec l’emploi la seconde priorité de la période pour la confédération, d’augmenter les salaires, à commencer par le Smic à 1800 euros, ce qui est du ressort du gouvernement.

Utopique ? Non, notamment si les dividendes au lieu d’être grassement versés aux actionnaires sont utilement reversés dans les entreprises, la production, la recherche, les rémunérations. L’État peut de ce point de vue conditionner les aides qu’il multiplie aujourd’hui sans contrepartie. Il est appelé aussi à jouer son rôle d’État stratège, pour développer des perspectives industrielles répondant aux urgences écologiques, économiques et aux besoins sociaux, favoriser l’indépendance sanitaire, agricole, technologique et financière du pays de même qu’il est appelé à investir dans les services publics à commencer par la santé et les transports publics propres.

Et c’est aussi dans ce contexte que la CGT a décidé d’appeler à une journée nationale d’actions, de grèves et de manifestations le 17 septembre.


Les Syndicats CGT, leurs militants et adhérents sont donc invités à débattre de ces éléments et de la nécessaire mobilisation.