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Loi travail : communiqué des organisations syndicales UL CGT Arles, UL FO Arles et FSU Arles.
Appel unitaire à la grève et à la manifestation le 31 mars.
A Arles, le rassemblement sous la pluie et dans le froid d’environ 500 manifestants le 9 mars et la mobilisation des lycéens le 17 mars ont été des éléments du mouvement qui a contraint le gouvernement à modifier le projet de loi Travail.
Pour autant les aménagements annoncés par le Premier Ministre ne changent pas la philosophie générale du projet. Le débat sur la loi est loin d’être terminé. La réécriture du texte ne touche pas au cœur du projet qui contient toujours de multiples régressions. Ce texte ne répond pas aux aspirations fortes, exprimées par les jeunes, les salariés et les chômeurs pour l’accès à l’emploi et sa sécurisation. La création d’emplois de qualité ne justifie pas la casse du code du travail mais nécessite un changement de politique économique et sociale, signal indispensable à envoyer à la jeunesse.
Le gouvernement doit retirer son projet.
Les organisations syndicales nationales CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL appellent les jeunes et les salariés à poursuivre et amplifier la mobilisation.
Elles confirment leur appel à la mobilisation par la grève et les manifestations le 31 mars pour obtenir le retrait de ce projet de loi et conquérir de nouvelles garanties et protections collectives.
Les organisations syndicales UL CGT Arles et UL FO Arles, FSU Arles appellent à faire du 31 mars une énorme journée de grèves et de manifestation.
Le rassemblement est organisé jeudi 31 mars à 10H30 place de la République à Arles, il sera suivi d’une manifestation.
11 juin 2016 Philippe Martinez à Martigues : on a relevé le tête !
Présence d’une forte délégation arlésienne...
Un Meeting historique sur le site de Lavera Martigues !
Des militants de Transgourmet aux coté de Philippe Martinez
12 septembre 2017 rassemblement Place de la République Arles
Salariés du Public du Privé, jeunes, retraités et privés d’emploi, l’Union Locale CGT d’Arles vous informe et vous appelle à l’action par la grève et la manifestation.
Les choix politiques du Président Macron, de son 1er ministre et du gouvernement sont porteurs de lourds reculs sociaux et sociétaux, à la grande satisfaction du MEDEF. Au travers du discours de politique générale, des 8 ordonnances et des préconisations de la cour des comptes, c’est notre modèle social qui est attaqué...
Lire la suite et diffuser l’appel de l’UL CGT d’Arles :
On enregistre déja de nombreux appels à la grève : MACIF, La Poste, territoriaux, Hôpital, Transgourmet, Actes-Sud, SNCF,...
Avec le projet de loi Travail XXL, c’est...
Voir l’argumentaire de la CGT :
Conférence de presse UD CGT 13 :
12 septembre 2017 : près d’un millier de manifestants à Arles !
Rassemblés place de la République...
Pour dire non aux ordonnances Macron et revendiquer de nouveaux droits pour les salariés...
- La Une de la Provence 13.09.17
Place de la République, intervention de la CGT et de la FSU. Lire ci-après l’intervention de Véronique Neff au nom de l’Union Locale CGT d’Arles.
Puis, en passant par la permanence de la Députée M. Michel avec une belle "bronca", la place du Forum et devant la Sous-Préfecture, les "fainéants" ont scandé leur colère..
La Provence :
LOI TRAVAIL XXL : un véritable succès pour une mobilisation exigeante et appelant des suites !..Lire la déclaration de la CGT
Et bien sûr la manifestation marseillaise...
12 septembre : la CGT manifeste sa diversité avec puissance...
La manif parisienne,
entretiens avec Philippe Martinez SG CGT et Marie-Josée Kotlicki UGICT-CGT.
Ce 12 septembre, la CGT a réussi son pari. Ce sont plus de 400 000 manifestants qui ont battu le pavé, aux quatre coins de la France, venant de tous horizons...
15 septembre 2016 : une détermination intacte contre la loi travail !
de la Place de la République à la Sous-Préfecture, 14ème manifestation,
Le 15 septembre, dés 10h30, la place de la République a vu affluer peu à peu des salariés du public et du privé, des privés d’emploi et des retraités. C’est au final près de 200 personnes qui se sont mobilisées pour cette manif de rentrée à Arles avec toujours la même cible : « avec ou sans le 49-3, on la veut pas, la loi travail » !
Les drapeaux rangés pendant l’été se sont à nouveau déployés, les mégas crachaient les slogans et le plaisir d’être ensemble, debout et déterminés, était au rendez-vous après la pause estivale. Comme quoi, le refus de cette loi scélérate demeure profondément ancré au fond des uns et des autres !
Partis de la place de la République, les participants se sont retrouvés devant la sous-préfecture. Les représentants de FO, de SUD-éducation, de la FSU et, en conclusion, de la CGT (voir l’intervention de Véronique Neff) ont pris la parole et la teneur des interventions illustrait bien l’unité profonde qui s’est forgée depuis 6 mois entre toutes ces organisations ! Les diverses motions ont ensuite été déposées auprès de la représentation de l’Etat central.
Cette manifestation avait été précédée du côté de la CGT par d’intenses distributions de tracts et des affichages en ville et dans les zones d’activité nord et sud !
Prochain rendez-vous, le 29 septembre à 10h30, devant la sous-préfecture, pour la manifestation des retraités !
20 juin 2016 : Réponse de l’intersyndicale au courrier du Ministre de l’Intérieur
Courrier commun CGT, FIDL, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL
Nous venons de prendre connaissance de votre courrier daté du 20 juin nous demandant de renoncer à la tenue de la manifestation prévue ce jeudi 23 juin...
21 septembre 2017 : une nouvelle manifestation unitaire avec une dynamique qui prend !
Près de 500 personnes sur la Place de la République...
Une manifestation arlésienne pleine de détermination et de confiance !
"Des centaines de milliers de personnes manifestaient ce 21 septembre pour le retrait des ordonnances Macron, qui s’attaquent de manière inégalée au Code du travail. Dans le cortège parisien, on pouvait distinguer, au-delà des Fédérations et syndicats CGT, des chasubles de la CFE-CGC, de la CFTC, des ballons de la métallurgie CFDT, des bannières de l’Unsa, de FO…
Même si les confédérations FO, CFDT, CFTC, CFE-CGC n’avaient pas appelé à la mobilisation. « Ce que l’on voit dans la rue doit pouvoir se concrétiser au niveau des fédérations », a appelé de ses vœux Philippe Martinez. Le secrétaire général de la CGT en a profité pour rappeler que la concertation avait été biaisée. Récemment les syndicats ont découvert que la majoration de 25 % des indemnités prudhommales n’étaient destinées qu’aux salariés de moins de dix ans d’ancienneté.
Philippe Martinez a également souligné que « les ordonnances, ce n’est pas la loi, et que la mobilisation peut encore tout faire bouger ».
Lire l’intervention de Vincent Perez pour l’Union Locale CGT d’Arles :
26 mai 2016 : Rassemblement Place de la République, 10h30, retrait loi dite travail !
LA RÉGRESSION SOCIALE NE SE NÉGOCIE PAS !
Après plus de 2 mois, et malgré les tentatives de divisions du gouvernement, le passage en force par le 49.3, la mobilisation des salariés, jeunes, privés d’emploi, retraités se poursuit et s’amplifie pour exiger le retrait du projet de loi « Travail ».
Alors que de nombreuses entreprises et professions sont engagées dans des initiatives, des arrêts de travail, et que plusieurs entreprises du département sont en grève reconductible (raffinage, pétrochimie, portuaire, énergie, transports, etc….) pour défendre les intérêts du patronat, des actionnaires, le gouvernement envoie les forces de l’ordre avec la plus grande violence contre les salariés.
Cela est inadmissible !
Avec cette loi, c’est la fin du Code du Travail.
Tous ensemble, élevons le rapport de force, pour le retrait de la loi « Travail » parce que le recul social ne se négocie pas.
Les routiers ont atteint la loi El Khomri en son coeur. L’inversion de la hiérarchie des normes ne va pas s’appliquer sur le paiement de leurs heures supplémentaires !
Continuons la mobilisation !
Lire et diffuser l’appel de l’Union Locale CGT d’Arles :
Lire le communiqué unitaire des organisations des Bouches du Rhône :
26 mai Arles pour le retrait de la loi travail 6 à 700 manifestants, rue du 49.3 !
La régression sociale ne se négocie pas !
Une nouvelle rue en Arles !
Arles a marqué la 8ème journée nationale d’action contre le loi travail en inaugurant une nouvelle voie (anc. rue de la Calade) : la rue du 49.3, celle qui va de la permanence du député PS Michel Vauzelle à la Sous-Préfecture, un cheminement hautement symbolique !
Auparavant, une foule diverse et colorée s’était rassemblée sur la place de la République avec de nombreux grévistes, notamment celles et ceux de la poste, de l’hôpital, de l’éducation nationale, des territoriaux et des entreprises privées de la zone et de St Martin de Crau. Il y avait là aussi une cohorte, sympathiquement bruyante, de lycéens et lycéennes et plusieurs élus municipaux, ce qui est nouveau pour notre ville ! Quelques retraités aussi...
Une prise de parole unitaire (CGT, FSU, SUD-éducation) a été faite par Claude Mas, secrétaire générale de l’UL CGT d’Arles, suivie d’une intervention d’une lycéenne qui a annoncé la création d’un collectif lycéen dans les prochains jours !
Puis, le monde s’est donc dirigé vers la rue de la Calade et a salué par des salves d’applaudissements le nouveau nom symbolique de cette rue avant de former un cortège dans les rues d’Arles. Comme toujours, détermination et plaisir d’être ensemble ont marqué cette manif forte de 633 personnes très exactement où slogans et ritournelles ont été bien repris !
Une partie des manifestants est allée ensuite établir une levée de barrière au péage ouest de l’autoroute d’Arles en direction de Nîmes pour y distribuer force tracts aux automobilistes sous l’œil placide de la police !
Cliquer pour plus de photos...
Communiqué de l’Union Départementale CGT des Bouches du Rhône suite aux incidents où 3 camarades ont été blessés :
Lettre commune des organisations syndicales d’Arles aux élus de la majorité du conseil municipal :
Lire la tribune de Philippe Martinez :
28 avril Arles loi travail tous concernés !
10h30 place de la République, poursuivons et amplifions la mobilisation...
Rassemblement unitaire.
Le principe du projet de loi travail est simple : « travailler plus, être payé moins et être licencié plus facilement ». La loi ne serait pas la même pour tous les salariés, avec des droits et des protections qui diffèrent selon l’entreprise où l’on travaille, selon qu’il existe ou non une organisation syndicale.
Lire et diffuser la suite :
Lire l’appel unitaire départemental :
28 juin 2016 pour le retrait de la loi travail : succès de la votation citoyenne à Arles !
De la Place de la République à la sous-préfecture...
C’est donc sous le soleil que 2 à 300 personnes, dont des élus municipaux, se sont rassemblées sur la place de la République pour cette onzième journée nationale d’action, de grèves et de manifestations, contre la loi travail que le Sénat approuvait ce même jour !
Inutile de dire que la « chambre haute » a encore aggravé le texte initial du gouvernement en défaveur des salariés. Le texte va maintenant repartir à l’Assemblée nationale, après un vain passage dans une commission mixte de compromis, et la menace d’une nouvelle utilisation de l’art. 49.3 de la constitution par le gouvernement pour accoucher « au forceps » de cette loi scélérate est bien sûr dans l’air, vu qu’il n’a plus de majorité…
Ce 28 juin, la journée était dédiée dans toute la France au dépôt des bulletins de la « votation citoyenne » lancée par l’intersyndicale nationale (CGT, FSU, FO, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL) pour permettre au plus grand nombre de donner son avis. C’est un résultat parfaitement clair qui est sorti des urnes placées dans les entreprises, les administrations, les lieux d’études et les espaces publics, à savoir un soutien massif à la revendication de retrait du projet de loi et à l’instauration d’un autre code du travail déterminant de nouveaux droits pour les salariés.
A Arles, après une prise de parole commune de la FSU et SUD-éducation, c’est Véronique Neff qui s’est exprimée pour la CGT (voir son intervention), suivie du représentant de FO. Les manifestants se sont ensuite déplacés devant la sous-préfecture pour y déposer les plus de 1400 bulletins de vote arlésiens, un beau succès !
Les résultats de la votation arlésienne :
Bourse du travail de Paris : Intimidation et entrave à l’activité syndicale
31 mars 2016, retrait de la loi travail : 1500 manifestants à Arles !
120 000 à Marseille, 1500 à Arles et plus d’un million dans tout le pays pour le retrait de la loi travail et pour gagner de nouveaux droits et garanties collectives.
Il n’est pas 10h30, heure fixée pour le rassemblement, que la place de la République est déjà bien pleine de monde. Une foule bigarrée, des jeunes, des plus âgés et des quadras, des délégations d’entreprises en grève, du public, du privé, une présence remarquée des Unions locales CGT de Chateaurenard et de Tarascon, et de nombreux salariés de Saint Martin de Crau. Une foule dont émanent à la fois du plaisir d’être ensemble et de la détermination à combattre la loi El Khomry jusqu’à son retrait, tant elle constitue un retour 2 siècles en arrière, une véritable régression sociale ! Les banderoles et les drapeaux se déploient. Une question restait ouverte cependant : viendront-ils ? On ne les a pas vus le 9 mars, ils n’ont pas bougé le 17, ni le 24…Pourtant oui, les voilà, ils arrivent par grappes joyeuses…Ils, et beaucoup de elles, ce sont les lycéens et lycéennes, en particulier des Lycées Pasquet, Montmajour et du Lycée Daudet de Tarascon, qui déboulent sur la place. Peu à peu, ils seront plus d’une centaine de jeunes à participer à la manif syndicale et pour beaucoup d’entre eux, c’est visiblement leur première manifestation de rue !
Un quart d’heure plus tard, il y a plus de mille personnes qui font face à la chapelle Ste Anne dont les escaliers forment une tribune improvisée pour les prises de parole des organisations syndicales et d’une lycéenne.
Lire l’intervention de Claude Mas pour l’Union Locale CGT d’Arles :
Les mégaphones s’échauffent et le cortège s’ébranle : rue de la Calade, l’Hauture, montée Vauban, boulevard des Lices, avenue Gambetta, rue et place de la République ! Au fur et à mesure, la manif s’étoffe, des groupes de gens la rejoignent et finalement, ce seront 1500 personnes qui auront défilé sous le soleil dans les rues d’Arles ! Le tout rythmé par des slogans crachés par les porte-voix répartis le long du ruban humain formé par les manifestant.e.s et une sono d’ouverture assurant la partie musicale !
Combativité, détermination, on le dit à la ministre du travail et à ceux qui tirent les ficelles derrière elle, les Macron, Valls, Hollande : « mobilisés, on le reste, et s’il le faut, bien sûr, nos reviendrons plus nombreux encore ! »
Plus de photos de la manif arlésienne...
Immense mobilisation, une seule issue : le retrait ! Lire le communiqué de la CGT
7 juin 2016, bloquage de la zone logistique de Saint Martin de Crau...
Un large soutien aux luttes pour le retrait de la loi travail.
- La Une de la Provence 08.16.16
L’initiative départementale de la CGT dès cinq heures, ce mardi 7 juin, dans la zone logistique de Saint-Martin-de-Crau, a été possible grâce à l’ engagement collectif des militants(tes) de la CGT.
3 lieux de blocage, entre 150 à 200 camarades présents(tes), une action pour le retrait de la loi dite travail avec des distributions de tracts, et de nombreuses discussions avec les salariés des zones Ecopole et Bois de Leuze.
"La côte de popularité" de ceux et celles qui se battent pour le retrait de cette loi est toujours aussi importante ! "Le sondage" réalisé en direct ce matin là, démontre une nouvelle fois le rejet massif du projet de loi dite travail par les salariés !
Le blocage "économique" des zones Ecopole et Bois de Leuze pour le retrait de la loi Travail a été un "grand moment" d’efficacité collective et de fraternité dans la lutte !
Après la manifestation du 14 juin 2016, propos inacceptables du Premier Ministre Manuel Valls.
Réaction de la CGT :
1,3 millions dans la rue hier, dont 140 000 à Marseille et 700 à Arles (voir l’article relatif à la manifestation arlésienne)
Le communiqué confédéral joint à ce même article rappelle bien quelques vérités que le gouvernement doit prendre en compte : • le rejet de la loi dite travail et des régressions qu’il porte est massif. • chacun veut vivre dignement et espère de nouveaux droits.
Le Premier Ministre vient d’accuser la CGT d’être responsable des violences intervenues en marge de la manifestation nationale du 14 juin, à Paris, contre le projet de loi travail. En pièce jointe la réaction de la CGT aux propos inacceptables du Premier Ministre Manuel Valls.
Lire et diffuser largement le communiqué :
La votation organisée par l’intersyndicale est aussi bien accueillie, les résultats seront l’ objet d’un rendu public et médiatique le 28 juin, dans les sous-préfectures, les préfectures et au plus sommet de l’Etat.
Face à ce rejet massif de la part d’une majorité de salarié-e-s et de l’opinion publique, combien de temps le gouvernement va-t-il rester sourd aux légitimes revendications du monde du travail ? Jusqu’où devrons-nous aller ?
Fort de cette nouvelle mobilisation, la délégation qui rencontrera la Ministre du Travail vendredi 17 juin portera l’exigence du retrait. Les points majeurs du blocage étant a minima les 5 articles qui constituent l’ossature du texte :
• L’inversion de la hiérarchie des normes (article 2)
• Le travailler plus pour gagner moins (articles 2 et 3)
• La casse de la démocratie sociale dans l’entreprise avec de nouvelles règles de négociations (articles 7 à 12)
• La facilitation des licenciements (accords de compétitivité article 11, réforme des licenciements économiques article 30, et possibilité de licencier en cas de reprise d’entreprise article 41)
• La réforme de la médecine du travail (article 44)
• Et aussi :
• L’ubérisation du salariat (article 27)
• La précarisation des privé-es d’emploi (article 52)
• La formation professionnelle au service des employeurs (articles 32 et 33)
Nous invitons les salariés, les privés d’emploi, la jeunesse, les retraités et bien sûr l’ensemble des syndicats à participer massivement aux journées de mobilisation nationales les 23 (date du vote au Sénat)et 28 Juin 2016, déclinées dans le département les 23,24 et 28 juin
Après le 9 mars, d’autres mobilisations s’imposent pour un retarait du projet de loi et des droits nouveaux pour tous.
Un déclaration de la CGT du 14 mars.
Aujourd’hui, Manuel VALLS recevait les organisations syndicales et les organisations étudiantes - écartant au passage les lycéens- pour faire des propositions d’évolution de la loi travail, suite à la pseudo-concertation de la semaine dernière.
La démarche unitaire et intergénérationnelle à laquelle participe la CGT, ainsi que les fortes mobilisations du 9 mars, ont mis la pression sur le gouvernement contraint à modifier certains articles de son projet de loi.
Ce rétropédalage du gouvernement est à mettre à l’actif de la mobilisation, des salariés, des jeunes et des citoyens.
Pour autant, dans ce contexte de régression sociale et de chômage persistant, les désaccords de fonds restent ! Les déséquilibres et inégalités de traitement sur les droits des salariés en fonction des entreprises ainsi que la remise en cause de la représentation syndicale restent la philosophie générale de ce texte. A chaque entreprise son propre code du travail !
Les licenciements seront facilités indépendamment de la réalité financière et économique des groupes internationaux. C’est la porte ouverte à la multiplication des licenciements boursiers.
La CGT réaffirme qu’il faut retirer le texte de projet de loi, et ouvrir de réelles négociations avec les organisations syndicales et les organisations de jeunesse.
La CGT porte des propositions concrètes pour un code du travail du 21ème siècle garant de nouveaux droits pour les salariés sécurisant notamment les parcours professionnels.
La CGT réaffirme qu’il faut augmenter les salaires et pensions, développer l’emploi, améliorer les conditions de travail et construire des garanties collectives de haut niveau pour les salariés, précaires, jeunes et retraités, en taxant une partie des dividendes versés.
Plus de 70% des français rejettent ce projet de loi, c’est maintenant dans les entreprises et dans la rue que doivent se mobiliser massivement les différentes générations de salariés et de citoyens.
Rendez-vous dans les diverses initiatives du 17 et 24 mars et tous mobilisés dans la grève et les manifestations le 31 mars !
Montreuil, le 14 mars 2016
Arles le 9 mars près de 500 personnes pour défendre le code du travail !
A l’appel de plusieurs organisations malgré la pluie !
Rassemblement d’abord devant la Sous-préfecture d’Arles avec prise de parole de la CGT, FO et FSU.
Lire l’intervention de la CGT :
Les participants se sont rendus ensuite jusqu’à l’esplanade Charles De Gaulle.
La Manifestation marseillaise...sans pluie !
Avant / Après...
Vos droits aujourd’hui et demain avec les ordonnances #LoiTravailXXL
Savez vous quels sont vos droits et ce qu’ils deviendraient si les ordonnances étaient publiées ? Seule la mobilisation, la grève et les actions collectives peuvent empêcher que ces reculs sans précédents ne deviennent des réalités.
C’est pourquoi la CGT publie ces informations et appelle à manifester le jeudi 21 septembre 2017.
C’est quoi ce travail ?!
Communiqué commun CGT, FSU, Solidaires, Unef, UNL et Fidl
Les organisations syndicales CGT, FSU, Solidaires, UNEF, UNL et FIDL ont décidé de poursuivre la lutte contre la loi travail, à partir de propositions revendicatives communes autour des questions :
• de la négociation collective et de la démocratie sociale,
• de la rémunération et de la reconnaissance du travail,
• de la réduction du temps de travail,
• de l’emploi et de la qualité de l’emploi,
• des problématiques de la jeunesse.
Ces questions sociales constituent une préoccupation majeure pour les jeunes, les privé-es d’emploi, les salarié-es, du privé comme du public, et plus largement pour les citoyen-nes. Elles doivent être au cœur du débat démocratique qui s’ouvre avec les élections politiques à venir en 2017.
Dans la poursuite de la consultation citoyenne, cette plateforme revendicative est destinée à être discutée sur les lieux de travail, les lieux de vie, les lieux d’étude lors d’initiatives communes organisées localement.
L’intersyndicale nationale rendra publique le 28 mars prochain la plateforme revendicative finalisée, enrichie et légitimée par les débats.
Lire la plateforme mise au débats :
Exigeons le retrait du projet, imposons le progrès social. Jeudi 2 juin rassemblement 10h30 place de la République.
Loi travail ! loi patronale !
Depuis presque trois mois, la mobilisation contre le projet de "loi travail" ne cesse de grandir. Pour toute réponse, dans un déni de démocratie, le gouvernement fait à nouveau appel au 49.3 et utilise la répression, la violence physique et verbale contre les grévistes et manifestants comme à Fos sur Mer...
Lire la suite et diffuser l’appel de l’Union Locale CGT d’Arles :
La fonction publique aussi dans l’action le 12 septembre
Les fonctionnaires également concernés...
La loi travail ne passera pas !
Pourquoi ce texte doit être retiré (un document interactif) :
Pour comprendre les points essentiels du projet de loi travail, la CGT fait un comparatif juridique entre une situation actuelle par trop insatisfaisante et un avenir très sombre si la loi passait. En savoir plus...
Et puis aussi :
La régression sociale ne se négocie pas... Rassemblement 31 mars 10h30 Place de la République, Arles
Journée de grève et de manifestation pour le retrait du projet de loi El Khomri...
Les récentes annonces du gouvernement ne changent pas les fondements de ce projet qui demeure une profonde remise en cause de notre modèle social...
Lire la suite de l’appel de l’Union Locale CGT d’Arles :
A diffuser sans modération
Pour un code du travail moderne Retrait du projet de loi travail :
Le 23 juin 2016, pour le retrait du projet de loi dite travail, rassemblement 10h30 à l’hopital d’Arles.
Ensemble, refusons qu’à l’Hôpital d’Arles, on applique la loi dite Travail avant même qu’elle ne soit votée !
Depuis plus de trois mois se multiplient les pétitions, manifestations, grèves, occupations de lieu de travail... le rejet du projet de loi est bien réel et il demeure profondément ancré dans l’opinion publique.
Le gouvernement refuse d’entendre ! Il cherche à détourner l’opinion publique du cœur du sujet posé par le projet de loi. La rencontre entre la ministre du travail et le secrétaire général de la CGT n’y a rien changé...
Les organisations syndicales CGT – FO – FSU – Solidaires – UNEF – FIDL – UNL restent centrées sur : l’inversion de la hiérarchie des normes, les accords de développement et de maintien de l’emploi, les conditions de licenciement, le référendum d’entreprise, la médecine du travail. Les attaques gouvernementales dont la CGT fait l’objet, quelles qu’en soient les formes, ne font que renforcer notre détermination à développer la mobilisation du monde du Travail contre le projet de loi Travail.
Il nous faut continuer et pousser encore plus fort, et poursuivre les mobilisations. Nous serons à nouveau dans la rue à Arles comme dans tout le pays les 23 et 28 juin prochains !
Le 23 juin, pendant l’examen du texte au Sénat, nouvelle journée de revendications, de grèves et de manifestations.
Nous proposons que le jeudi 23 juin à 10H30 le rassemblement interprofessionnel ait lieu à l’entrée de l’hôpital d’Arles
Ainsi que nous le disions le 14 juin, à l’Hôpital d’Arles, ils veulent appliquer la loi dite Travail avant même qu’elle ne soit votée !
L’Hôpital public souffre des restrictions budgétaires et du manque de dialogue social. L’Agence Régionale de Santé (A.R.S) et la Direction de l’Hôpital veulent imposer des modifications d’horaires contre l’avis des salariés et leur voler leurs repos compensateurs !
Le projet de régression sociale concocté par l’A.R.S et relayé par la Direction et le Conseil de Surveillance doit être retiré !
L’hôpital public n’est pas une marchandise, il est notre bien commun !
La rencontre au ministère du travail… et après ?
Une CGT responsable : la preuve Communiqué commun CGT et Comité régional Midi-Pyrénées...
Procédure judiciaire contre un militant CGT arrêté le 14 juin
Loi dite travail : votation citoyenne.
Une initiative unitaire
Les 7 organisations (CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL et FIDL), mobilisées depuis presque 3 mois ont décidé l’organisation d’une VOTATION CITOYENNE dans les entreprises, les administrations et les lieux d’étude, pour permettre à tous de s’engager dans la mobilisation pour le retrait du projet de loi dite travail et la conquête de nouveaux droits pour les salariés.
A cet effet :
• le tract national intersyndical
• le bulletin de vote
• des affichettes pour annoncer la votation dans votre établissement
Il convient de prendre les dispositions pour faire s’exprimer le plus grand nombre de salariés, de privés d’emploi, de retraités, de jeunes, dans chaque entreprise, chaque établissement, sans oublier de solliciter les proches (parents, enfants, voisins etc.!).
Des points de votation seront aussi tenus sur les marchés :
St Martin de Crau : vendredi 10 juin 10h-12h,
Arles : samedi 11 juin et mercredi 15 juin 10h-12h
Une permanence de votation sera tenue à la Bourse du travail du 6 au 11 juin, l’après-midi.
Union Locale CGT – Bourse du Travail – 3 rue Parmentier – 13200 ARLES
04 90 96 50 27 – Fax 04 90 96 46 78 – e.mail : unionlocale@cgtarles.fr
Les bulletins sont à retourner à l’UL CGT d’Arles jusqu’au 17 juin dernier délai. Un premier bilan sera effectué
Loi Travail - Le 3 mai, la balle dans le camp des député-es - On peut encore les interpeller !
Communiqué commun CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL et FIDL
Ne les laissons pas nos députés tranquilles !
Les organisations syndicales de salarié-es, lycéen-nes et étudiant-es, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL FIDL réunies le 2 mai 2016 réaffirment leur détermination à obtenir le retrait du projet de loi travail et à gagner de nouveaux droits.
Loi travail - Saison 2 épisode 3 !
LOI TRAVAIL - Saison 2... La nouvelle série TV !
Proposée par la CGT...
Quand la réalité dépasse la fiction !
LOI TRAVAIL - Saison 2 / Episode 1 : « La précarisation sur ordonnances » :
Les Ordonnances Macron ont pour objectif de destructurer le Code du Travail qui protègent les salariés. En particulier, elles visent à plafonner les indemnités versées aux Prudhommes, ce qui risque de multiplier les licenciements abusifs. Dans cette fiction, Valérie, jeune salariée en bisbille avec son patron, fait un cauchemar : la loi Travail XXL est passée, et les prudhommes ne lui servent plus qu’à pleurer !
LOI TRAVAIL - Saison 2 / Episode 2 : « Prudence aux prud’hommes » :
Loi Travail 45000 manifestants à Marseille le 9 avril
Et une délégation d’arlésiens dans la manif...
Loi travail et Euro 2016 : Z, le youtuber CGT aime le foot mais...
A l’approche de l’Euro 2016 et à l’heure du conflit sur la loi Travail, Z, le Youtuber CGT revient. Il aime le foot, mais il N’AIME PAS que l’on CHANGE LA REGLE DU JEU ...
Loi travail XXL : Moins de droits pour les salariés, plus de pouvoirs pour les employeurs !
À grands renforts d’ordonnances, le nouveau pouvoir a préparé une loi qui va amplifier la déconstruction du Code du Travail entamé par la loi El Khomri.
Le gouvernement a dévoilé "officiellement" le 31 août le contenu de ses ordonnances !!!! La CGT dit non à la régression sociale !
Lire la déclaration de la CGT du même jour.
Le gouvernement vient de nous proposer dans la droite ligne de ses prédécesseurs une énième réforme du droit du travail partant du principe que le travail est un coût, alors qu’il produit les richesses. Cette loi va se rajouter aux précédentes sans même les avoir évaluées et pour cause, elles sont inefficaces.
Loi travail, réponse du gouvernement ? Le passage en force ! Rassemblement Arles jeudi 19 mai 10h30 place de la république...
Et manifestation à Marseille le mardi 17 mai. Départ collectif en car depuis Arles.
Depuis maintenant près de trois mois, une mobilisation exceptionnelle a pris racine en France pour combattre le projet de loi Travail et porter l’exigence de nouveaux droits sociaux pour les salariés.
Quelle est la réponse du gouvernement ? Le passage en force !
Ce projet de loi ne figurait pas dans le programme du candidat Hollande.
L’utilisation du 49-3 pour faire adopter une loi rejetée par plus de 70% de la population est inadmissible, une véritable honte ! Cette décision ne vient que s’ajouter à un processus antidémocratique depuis le début. Faut-il rappeler la non consultation des organisations syndicales avant l’écriture du texte, les rencontres éclair avec la Ministre du travail, le blocage des votes à l’Assemblée nationale ?
Les salariés sont méprisés, les citoyens bafoués et leurs représentants ignorés.
La CGT condamne ce déni de démocratie et la brutalité affichée par le gouvernement.
Plus que jamais, l’urgence est à la mobilisation.
Pour Arles mardi 17 mai un car part à 9H de la Gare Routière ( en face de la gare sncf) pour la manifestation de Marseille (10H30 au vieux port) rendez vous à 8H30. Se renseigner à l’Union Locale CGT pour connaître la disponibilité des places.
Pour Arles jeudi 19 mai manifestation à 10H30 Place de la République. Ci-après le tract pour le19 mai
Loi travail : communiqué commun CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL du vendredi 25 mars 2016
Avertissement au gouvernement !
Comme les 9 et 17 mars, étudiant-es, lycéen-nes, salarié-es, privé-es d’emploi et retraité-es ont montré ce jour toute leur détermination à obtenir le retrait du projet de loi travail.
Les organisations signataires rappellent que les pouvoirs publics doivent garantir le droit à manifester, à se réunir, à s’organiser, tout en assurant la sécurité des manifestant-es.
Les modifications apportées par le gouvernement au projet de loi Travail ne changent rien à l’affaire : le texte présenté au conseil des ministres reste toxique pour les salarié-es d’aujourd’hui et de demain. De toute évidence, ce texte ne permettra pas les créations nécessaires d’emplois, généralisera la précarité et aggravera les inégalités professionnelles notamment envers les femmes et les jeunes. C’est ce que montre l’exemple des pays européens ayant suivi cette voie.
Dans ce contexte où l’emploi et les salaires restent des préoccupations majeures, il est urgent de développer des emplois stables, de qualité, et de nouveaux droits sociaux.
Les organisations syndicales (CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL) appellent l’ensemble des salarié-es, privé-es d’emploi, étudiant-es, lycéen-nes, retraité-es à se mobiliser par la grève et à participer massivement aux manifestations le 31 mars pour obtenir le retrait de ce projet de loi et conquérir de nouvelles garanties et protections collectives.
A l’issue de la journée du 31, le gouvernement doit répondre. Si tel n’était pas le cas, les organisations signataires inviteront les salarié-es et les jeunes à débattre la poursuite de l’action dans les jours suivants et à renforcer les mobilisations, y compris par la grève et les manifestations.
Les organisations signataires appellent d’ores et déjà le gouvernement à les recevoir pour prendre en compte leurs revendications et les mobilisations massives et répétées.
Paris, le 24 mars 2016
Loi travail : déclaration commune CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL
Poursuivre la mobilisation...
Les mobilisations, notamment celles du 9 mars initiées par les organisations de jeunesse et les organisations syndicales de salariés (CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL), ont contraint le gouvernement à des concessions sur la loi Travail.
Pour autant les aménagements annoncés par le Premier Ministre ne changent pas la philosophie générale du projet. Il ne répond pas aux aspirations fortes, exprimées par les jeunes, les salarié-e-s et les chômeurs pour l’accès à l’emploi et sa sécurisation.
La création d’emplois de qualité ne justifie pas la casse du code du travail mais nécessite un changement de politique économique et sociale.
Ce texte continue à diminuer les droits des salarié-e-s et à accroître la précarité, notamment des jeunes. Décentralisation de la négociation collective au niveau de l’entreprise et affaiblissement des conventions collectives de branches, fragilisation des droits individuels acquis, mise en cause des majorations des heures supplémentaires, facilitations des licenciements, affaiblissement de la médecine du travail… sont autant d’exemples de régressions qui demeurent.
L’universalité de la garantie jeune sans les moyens en conséquence relève d’un effet d’annonce. Face au chômage et à la précarité auxquels sont confrontés les salarié-e-s, les femmes et les jeunes en particulier, l’urgence est à la conquête de nouveaux droits.
Les organisations syndicales (CGT, FO, FSU, Union syndicale Solidaires, UNEF, UNL, FIDL) soutiennent et appuient les actions des 17 et 24 mars.
Elles confirment leur appel à la mobilisation par la grève et les manifestations le 31 mars pour obtenir le retrait de ce projet de loi et conquérir de nouvelles garanties et protections collectives.
Paris, le 14 mars 2016
Loi travail : manifestation unitaire à Marseille samedi 9 avril 14H30 Vieux Port.
Covoiturage avec l’UL CGT d’Arles
La mobilisation continue pour exiger le retrait de cette loi travail et exiger des droits nouveaux dignes de notre temps.
L’Union départementale CGT13 appelle à participer à la manifestation unitaire de Marseille samedi 9 avril 14H30 Vieux Port.
Lire et diffuser l’appel de l’UD dans vos entreprise et établissements :
Loi travail : Promulgation ou pas, rendez-vous le 15 septembre.
Communiqué de la CGT
Loi travail : rassemblement mardi 5 avril 17h30 devant la sous-préfecture d’Arles
Après le 31 mars, amplifions la mobilisation !...
L’Assemblée Générale de l’union locale CGT d’Arles réunie ce lundi 4 avril propose un rassemblement le mardi 5 avril à 17h30 devant la sous-préfecture d’Arles. Une motion sera déposée à la sous-préfecture et au Député.
Cette initiative est la déclinaison arlésienne des rassemblements prévus dans tout le pays et au niveau départemental. Des rassemblements devant les sous-préfectures auront aussi lieu à Marseille, Aix et Istres.
Le gouvernement doit retirer son texte. Inutile de s’entêter plusieurs semaines comme pour la constitutionnalisation de la déchéance de nationalité et les mesures d’état d’urgence ! Les recettes qu’il propose avec le Medef sont toujours ringardes : cela fait plus de 30 ans en France comme en Europe que s’applique une baisse des droits des salariés et du coût du travail avec pour seules conséquences une montée du chômage et une augmentation des dividendes versés aux actionnaires (+25% en 2015).
Consciente du peu de temps pour préparer ce rassemblement, l’enjeu est de taille, l’UL CGT d’Arles sait pouvoir compter sur votre réactivité...
Lire et diffuser l’appel de l’UL CGT d’Arles :
Lire le communiqué départemental unitaire :
Lire le courrier unitaire national adressé aux présidents de groupes de l’Assemblée Nationale :
Non à la casse du droit du travail : rassemblement jeudi 15 septembre 10h30 Place de la République.
La régression sociale ne se négocie pas,
ensemble imposons le progrès social !
Plus les choix politiques servent le patronat, plus la misère et le chômage augmentent !
Les moyens ne manquent pas, les richesses que nous créons doivent servir l’intérêt général. Imposons une autre répartition des richesses...
Lire et diffuser l’appel de l’Union Locale CGT d’Arles :
Non à la mort programmée des CHSCT
Une aberration sociale et économique.
Signez la pétition :
ORDONNANCES MACRON : LA CGT DEMANDE AU CONSEIL D’ÉTAT DE LES SUSPENDRE
la CGT a déposé trois recours contre les Ordonnances Macron
Il s’agit de contester les dispositions qui portent le plus gravement atteinte aux droits et libertés fondamentaux des travailleurs.
Ces recours ont été déposés par le biais du référé suspension qui est une procédure d’urgence. Si le Conseil d’État venait à considérer qu’il n’y a pas urgence, il devrait néanmoins se prononcer sur la validité des ordonnances dans le cadre de recours sur le fond.
Parceque ensemble nous pouvons gagner, amplifions la mobilisation... 21 septembre journée de grève et de manifestation
Rassemblement 10h30 place de la République à Arles
À l’appel des Organisations départementales CGT, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, 60 000 Salariés, Retraités, Privés d’Emplois, Étudiants et Lycéens ont manifesté à Marseille et 1 000 à Arles, dans le cadre de la journée nationale de grève du 12 septembre 2017 contre :
Lire la suite :
Pas de vacances pour le retrait de la loi travail ! Rassemblement mardi 5 juillet 10h30 place de la République.
L‘intersyndicale nationale CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL et FIDL à d’ores et déjà programmée une nouvelle journée de grève et de manifestation le 5 juillet, jour d’ouverture des débats à l’Assemblée Nationale.
Au contraire de ce que dit la presse, il n’ y a pas d’essoufflement, la colère de ne pas être entendus est toujours là, les manifestants se relaient pour participer aux diverses initiatives.
COMMUNIQUE CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL Le souffle ne nous manque pas !
Enregistrer et diffuser l’affichette :
La façade de la Bourse du Travail d’Arles :
Le clin d’oeil de Jean-Pierre Autheman :
Plus que jamais : retrait de la loi dite travail. Rassemblement mardi 14 juin place de la République Arles
Le projet de loi travail passé en première lecture à l’Assemblée Nationale, le Sénat promet d’empirer encore ce texte rétrograde ; le projet du gouvernement n’est pas un moindre mal : exigeons le retrait.
Pour ceux qui râlent après les gréviste
Pour le retrait de la loi travail et pour la justice sociale, 500 manifestants dans les rues d’Arles le 28 avril 2016
Une mobilisation maintenant ancrée dans le pays, qui fait renaître de l’espoir, parce qu’elle fait jaillir des contestations et des propositions.
A l’appel de la CGT et de la FSU du pays d’Arles, 500 personnes se sont rassemblées le jeudi 28 avril à 10h30 sur la place de la République. Après deux prises de parole, un cortège s’est formé pour parcourir les rues du centre ville. Bonne humeur et combativité ont marqué cette nouvelle mobilisation contre la loi travail avec l’exigence renouvelée de son retrait.
Délégations d’entreprises et d’établissements, lycéens – dont une représentante s’est également exprimée au départ de la manif – représentations des UL CGT de Tarascon et de Chateaurenard et retraités ont composé un cortège bigarré portant la revendication offensive d’une législation protectrice comportant des droits nouveaux pour les salariés, les retraités et les privés d’emploi !
Lire l’intervention de Claude Mas pour l’Union Locale CGT d’Arles :
Pour le retrait de la loi travail, grosse journée ce 14 juin 2016 à Arles !
La température sociale s’élève comme celle de l’air !
- La Une de la Provence 15.06.16
La lutte contre le projet de loi travail est-elle toujours populaire ? Un sondage grandeur nature a montré qu’elle est même de plus en plus comprise et soutenue ! En effet, dès 7h du matin le mardi 14 juin, une quarantaine de militant.e.s de l’UL CGT du pays d’Arles qui distribuaient des tracts (1800 exemplaires en une heure) au grand rond-point de Pont de Crau ont reçu un très cordial accueil des automobilistes, voire même chaleureux, avec sourire de rigueur et encouragements nombreux de leur part !
A 10h30, ce même 14 juin, 700 personnes (comptées, n’en déplaise à La Provence) se pressaient à la place de la République à l’appel conjoint de la CGT, de la FSU et de Solidaires dont un grand nombre de postiers en grève ce jour-là ! Claude Mas, secrétaire générale de l’UL CGT, a tenu un discours unitaire très combatif à l’égard du gouvernement et du MEDEF (voir son intervention) qui s’isolent tous deux dans leur tour d’ivoire…
Poursuite de la votation citoyenne...
Les manifestant.e.s ont formé ensuite un cortège dans les rues d’Arles sous l’œil curieux des touristes dont un groupe de Belges qui applaudissaient en rappelant qu’il se déroule chez eux une attaque identique à leur code du travail ! Passage et "bronca" devant la sous-préfecture, aux moment même ou le Sous-préfet faisait ses adieux. Un signe ?!
Au retour sur la place de la République, les manifestant.e.s ont été accueillis par un grand barbecue organisé par les postiers avec force saucisses grillées et boissons fraîches qui ont régalé tout un chacun !
Cliquer pour plus de photos...
Pour le retrait de la loi travail : rassemblement mardi 28 juin 2016, 10h30 place de la République, puis remise des votations à la sous-préfecture d’Arles
10ème manifestation en 4 mois ! Le gouvernement peut il encore faire la sourde oreille ?
Après la 10ème manifestation, comment le gouvernement peut il encore faire la sourde oreille.
Partout sur le territoire, des votations citoyennes massives s’organisent. Elles seront remises lors de la prochaine journée nationale d’action et de manifestation du 28 juin.
Nous nous retrouverons donc mardi 28 juin à 10h30 place de la république pour aller ensuite déposer les votations à la sous préfecture.
Lire et diffuser l’appel de l’UL CGT d’Arles :
Voir la lettre unitaire au sous-préfet :
Poursuite du mouvement jusqu’au retrait de la loi travail ; c’était le 17 mai 2016 à Marseille
Forte délégation d’arlésiens !
Le mardi 17 mai, sous un soleil radieux, 80.000 personnes se sont rassemblées et ont défilé du Vieux-Port de Marseille à la place Castellane pour proclamer encore une fois un refus déterminé du projet de la loi travail et en faveur de droits nouveaux tout en conspuant l’usage du 49.3, un véritable déni démocatique !
Cette manif unitaire (CGT, FSU, SUD, FO, UNEF, UNL, FIDL) revêtait une dimension départementale et interprofessionnelle et tous les secteurs, les territoires et les âges étaient présents en rangs serrés. Combativité, créativité des slogans et des banderoles et bonne humeur ont fait mentir le soi-disant essoufflement du mouvement social que répètent en boucle les médias de complaisance !
L’UL d’Arles était évidemment représentée et une soixantaine de camarades ont fait le déplacement en « savourant » au retour l’efficacité des blocages des routiers en grève…
Rassemblement contre la loi travail : c’était le 19 mai à Arles…
Une série d’actions très tôt le matin et plus de 400 personnes place de la République.
La journée syndicale du 19 mai a commencé tôt le matin à Arles ! Dès 4h30 du matin, c’était les éboueurs qui poursuivaient leur grève pour le deuxième jour consécutif afin de faire aboutir leurs revendications dans le contexte du transfert du secteur « propreté » de la mairie à l’agglo ! Dans l’après-midi, ils obtenaient satisfaction avec la signature d’un protocole d’accord en mairie ! (voir article spécifique à ce sujet)
Les postiers avec la CGT se sont fortement mobilisés contre les attaques en cours à leurs conditions de travail et à l’emploi et pour le développement d’un vrai service public !
Un peu plus tard, à l’hôpital J. Imbert, plus de 200 agents hospitaliers ont envahi une réunion du conseil de surveillance pour dire haut et fort leur contestation de la dégradation constante des conditions de travail et des effectifs qui mettent en péril et la santé du personnel de santé ( !) et la qualité des soins aux patients… (voir article spécifique à ce sujet)
A 10h30, le rassemblement, place de la République pour donner un écho public aux actions en cours et pour clamer une fois encore notre opposition ferme et résolue au projet de loi travail s’est poursuivi en cortège dans les rues d’Arles avec la participation exacte de 423 personnes !
Lire l’intervention de Marcel Boualam secrétaire général du syndicat CGT des territoriaux, à propos du conflit au sevice des ordures ménagères de la Ville d’Arles :
Cliquer pour plus de photos...
La presse :
Rassemblement unitaire contre la loi travail et pour le progrès social devant la sous-préfecture d’Arles le 5 avril 2016
...suivi d’un passage à la permanence du député : retrait,retrait !...
Une centaine de personnes rassemblées devant la sous-préfecture où une motion unitaire a été déposée.
Lire la motion :
Puis les manifestants se sont rendus devant la permanence du député M. Vauzelle où un court échange a eu lieu avec son attaché parlementaire, sur le pas de la porte !
Dépôt de motions également
Rassemblés devant l’hôpital d’Arles le 23 juin 2016 pour le retrait de la loi travail et pour défendre et promouvoir l’hôpital public.
Le projet de régression sociale de l’ARS relayé par la direction de l’hôpital et par le conseil de surveillance doit être retiré !
Cela fait des semaines que la section syndicale CGT de l’Hôpital régional d’Arles se bat contre les « réformes » que l’Agence régionale de santé (ARS), la direction de l’hôpital et le conseil de surveillance veulent imposer au personnel sans concertation.
Ces « réformes » sont en fait des préfigurations de la loi travail combattue dans tout le pays depuis 4 mois et comportent des modifications d’horaires et de statuts qui ne vont qu’augmenter la pénibilité du travail et amoindrir la qualité des soins. Aujourd’hui déjà, il manque 40 postes dans les effectifs, demain ce seront 60 postes !
Pour la défense de leurs conditions de travail, pour assurer la prise en charge la meilleure possible des patients et pour affirmer la nécessité du dialogue social, le personnel de l’hôpital a observé jeudi 23 juin un débrayage de deux heures. Il n’était pas seul ! Dès 10h30, de nombreuses personnes, dont des élus municipaux, se sont rassemblées au portail de l’établissement et, drapeaux au vent et chansons de lutte aux oreilles, ont formé un long cortège jusqu’à l’entrée principale de l’hôpital, une première !
Devant les quelques 200 manifestants présents, Claude Mas, secrétaire générale de l’UL CGT d’Arles, a prononcé un discours de combativité et de détermination (voir son intervention) faisant le lien entre le national et le local. L’action de la CGT a été soutenue par la FSU, SUD-éducation et FO dont les représentants ont également pris la parole. En conclusion, Anne-Marie Le Sage, déléguée syndicale CGT de l’hôpital, a brossé le tableau négatif de la situation à l’intérieur de l’établissement et redit encore une fois la nécessité d’ouvrir une vraie concertation avec le personnel et ses représentants.
Lire l’intervention :
La Presse :
Rassemblés le 5 juillet rue du 49-3 !
Et s’il le faut, nous reviendrons !
Au matin du 5 juillet, une centaine de personnes se sont rassemblées sur la place de la République à l’appel de l’intersyndicale CGT, FSU, Sud-Education et FO.
Banderoles en tête, drapeaux au vent et musiques de luttes dans la sono, les participants se sont ensuite déplacés à la rue du « 49.3 » devant la permanence du député Michel Vauzelle.
Devant de nombreux touristes et festivaliers des Rencontres internationales de la photographie, qui viennent de débuter, trois prises de parole ont été prononcées. La première par Catherine Panne pour l’UL CGT d’Arles (voir le texte de son intervention) qui a fait le point sur les derniers pseudo compromis du gouvernement et a attiré l’attention du public sur le caractère illégal du projet de loi travail au regard du droit international public constitué notamment par les conventions de l’Organisation Internationale du Travail, en particulier les conventions 87 et 98 qui définissent le cœur même de la liberté syndicale. A sa suite, les représentants de la FSU, de SUD-éducation et de FO ont rappelé leur engagement sans faille depuis le début du mouvement et encouragé les participants à maintenir un esprit de lutte pendant l’été !
Les organisations tant localement qu’au niveau national se reverront ces prochains jours pour les suites à donner à l’usage une fois encore de l’art. 49.3 par le gouvernement pour passer en force une loi contestée par la majorité des syndicats, des organisations de jeunesse et du peuple de gauche.
Lire l’intervention de la CGT :
La Presse :
Retrait du projet de loi dite travail, blocage de Fos et rassemblement le 26 mai à Arles
Jeudi 26 mai rassemblement 10h30 place de la République...
L’arrogance de Sapin, Valls et Hollande est inacceptable. Ils ne sont pas légitimes à persister dans le maintien du projet de loi dite travail. Pour rappel il n’y a pas eu de discussion préalable avec les organisations syndicales, 75% de la population est contre ce projet de loi ! Le gouvernement a utilisé le 49.3 pour le faire passer à l’assemblée nationale en 1ère lecture !
Alors que Manuel Valls, très vindicatif jeudi sur les radios, s’en était pris violemment notamment aux routiers grévistes et à leurs organisations représentatives CGT et FO, le gouvernement vient d’effectuer un recul significatif face à la mobilisation sur une revendication très forte concernant la rémunération de leurs heures supplémentaires. ( voir tract unitaire des Fédérations des Transports CGT et F.O)
Actuellement, les secteurs du raffinage et de la pétrochimie sont en grève reconductible.
Afin de renforcer cette action, la CGT des Bouches du Rhône occupe le Dépôt Pétrolier de Fos.
Le 26 mai est un nouveau temps fort de grève dans toutes les entreprises. A Arles, nous proposons un rassemblement à 10H30 Place de la République.
Au plan national, les organisations ont décidé de renforcer l’action par une journée de grève interprofessionnelle avec manifestation nationale à Paris le 14 juin, au début des débats au Sénat. Elles appellent à multiplier d’ici là, sur tout le territoire, des mobilisations sous des formes diversifiées.
En pièce jointe, également un document qui rappelle ce qu’est toujours le projet de loi dite travail et pourquoi nous réclamons encore et toujours son retrait !
Retrait loi dite travail et exigeance progrès social : rassemblement du 2 juin 2016 à Arles.
2 à 300 personnes sur la Place de la République. Pas forcément les mêmes que le jeudi précédent...
Une détermination intacte !...
Intervention de Claude Mas pour l’Union Locale CGT d’Arles
Puis présentation de la votation citoyenne et unitaire par Maurice Blanc de la FSU. Manifestation dans les rues d’Arles et retour sur la Place de la République pour la votation (Voir article spécifique).
Toujours déterminé-es : Amplifier la mobilisation, faire respecter la démocratie ! Nouvelles journées d’action les 26 mai et 14 juin...
Un communiqué CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, UNL, FIDL
Après plus de deux mois de mobilisation des salarié-es, des jeunes, des privé-es d’emploi et des retraité-es, la mobilisation se poursuit et s’amplifie comme le montre cette journée du 19 mai.
Cette semaine, le développement d’actions, de grèves dans de nombreux secteurs et de blocages pour obtenir le retrait du projet de loi travail et l’obtention de nouveaux droits, montre que la détermination reste intacte.
L’opinion publique reste massivement opposée à cette loi Travail et à l’utilisation autoritaire du 49.3 par le gouvernement.
Lire la suite :
Lire et diffuser le "4 pages" Loi "TRAVAIL" : une seule issue, le retrait ! :