Rassemblés d’abord à l’Union Locale CGT d’Arles, les postiers et les cheminots ont échangé sur leurs revendications et la nécessaire convergence des luttes.
Ils se sont ensuite rendus ensemble devant la permanence de la députée de la circonscription Arles-Miramas. Les uns pour dénoncer, entre autres, la suppression de 21 postes de facteurs dans le secteur d’Arles et la dégradation des conditions de travail, les autres la casse de la SNCF, la voie royale vers sa privatisation et la disparition du statut du cheminot.
Dans tous les cas les usagers vont aussi trinquer !
Les cheminots, déterminés, ont laissé un souvenir à la député : une voie de chemin de fer dans la rue de la République !...
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Et même en prenant de la hauteur !