"Le 4 février, bravant le risque du virus qui me grignote la tête, je manifeste. Défilent les visages et les mots de la crise.
Colère, espoir, unité serpentent dans les rues de ma ville.
Des ouvriers, employés, techniciens, ingénieurs, cadres, chercheurs convaincus que pour trouver des solutions à la crise il faut soigner leurs maux quotidiens..."
Lire la suite de l’Actu Hebdo de la CGT du 5 février